Nous vivons dans un monde où la liberté d’expression est souvent menacée, où les journalistes sont de plus en plus pris pour cible, emprisonnés pour avoir simplement fait leur travail, pour avoir osé dénoncer les injustices, les abus de pouvoir, les violations des droits de l’homme. Aujourd’hui, j’aimerais rendre hommage à tous ces journalistes courageux, qui risquent leur vie chaque jour pour nous informer, pour défendre la liberté de la presse, pour défendre la démocratie.
Le journalisme est un métier dangereux, surtout dans les pays où la liberté de la presse est bafouée, où les gouvernements autoritaires cherchent à museler toute voix discordante, toute critique, toute vérité qui les dérange. Les journalistes sont souvent harcelés, menacés, agressés, emprisonnés, parfois même tués, simplement pour avoir écrit un article, pour avoir publié une enquête, pour avoir pris des photos, pour avoir filmé une manifestation. Leur courage force le respect, leur détermination mérite l’admiration, leur sacrifice mérite la reconnaissance.
Certains journalistes sont emprisonnés pendant des années, dans des conditions inhumaines, sans procès équitable, sans liberté de mouvement, sans accès à leur famille, à leurs amis, à leurs collègues. Leur seule faute est d’avoir exercé leur métier avec intégrité, avec professionnalisme, avec éthique, avec engagement. Leur seule faute est d’avoir dénoncé les abus du pouvoir, les dérives de la corruption, les dénis de la liberté, les violations des droits. Leur seul crime est d’avoir informé les citoyens, de les avoir éclairés, de les avoir éveillés à la vérité, à la justice, à la solidarité.
Pourtant, malgré l’adversité, malgré l’oppression, malgré la répression, les journalistes résistent, les journalistes persisttent, les journalistes insistent, les journalistes existent. Leur voix ne peut pas être réduite au silence, leur plume ne peut pas être brisée, leur esprit ne peut pas être asservi. Ils restent debout, fiers, libres, malgré les menaces, malgré les pressions, malgré les persécutions. Ils restent fidèles à leur mission, à leur vocation, à leur passion. Ils restent des sentinelles de la liberté, des gardiens de la parole, des héros de la vérité.
Aujourd’hui, je pense à tous ces journalistes en prison, privés de leur liberté, de leur dignité, de leur humanité. Je pense à leurs familles, à leurs amis, à leurs collègues, à leurs lecteurs, à leurs auditeurs, à leurs téléspectateurs. Je pense à leur courage, à leur sacrifice, à leur engagement. Je pense à leur espoir, à leur résilience, à leur persévérance. Je pense à leur souffrance, à leur solitude, à leur désespoir.
Pourtant, malgré tout, je crois en leur cause, en leur combat, en leur victoire. Je crois en l’indéfectible force de la vérité, en l’inébranlable pouvoir de la liberté, en l’irrésistible appel de la justice. Je crois en la solidarité des peuples, en la mobilisation des consciences, en la révolte des consciences. Je crois en la lumière de la vérité, en la force du courage, en la beauté de la liberté.
Alors, je veux rendre hommage à tous ces journalistes en prison, à tous ces journalistes persécutés, à tous ces journalistes emprisonnés. Leur combat est notre combat, leur souffrance est notre souffrance, leur liberté est notre liberté. Nous devons rester solidaires, vigilants, déterminés. Nous devons rester unis, forts, engagés. Nous devons rester debout, fiers, libres. Nous devons continuer à défendre la liberté de la presse, à protéger les journalistes, à soutenir la vérité. Car sans eux, sans leur courage, sans leur détermination, sans leur sacrifice, notre monde serait plus sombre, plus injuste, plus inhumain.
Alors, n’oublions jamais ces journalistes en prison. N’oublions jamais leur combat, leur dignité, leur courage. N’oublions jamais leur sacrifice, leur engagement, leur détermination. N’oublions jamais que la liberté de la presse est un droit fondamental, un pilier de la démocratie, une garantie de la liberté. N’oublions jamais que la vérité est sacrée, que la justice est essentielle, que la solidarité est indispensable.
N’oublions jamais.
Hugues Hector ZOGO